Honte sur nous !
Quelle honte ! Mais qu'est-ce que c'est que ces parents indignes qui ne donnent même plus de nouvelles de leurs enfants?
Bon, on va pas vous sortir les traditionnelles (mais tellement vraies) excuses : biberons, changes, biberons, changes... Mais quand même. Il faut bien reconnaître que c'est pas tous les jours facile (dit-il planqué derrière son bureau au boulot alors que Marion doit usiner pour nourrir trois petits monstres affamés).
Venons en aux faits. Les petits se portent à merveille. Nous allons de surprises en surprises puisqu'ils ont déjà rattrapé la courbe de croissance d'un nourrisson à terme. Jugez plutôt. Le 10 avril (le terme "normal", même si cela ne veut pas dire grand-chose pour des triplés), ils frisaient les quatre kilos. Je ne vous dis pas le poids qu'il auraient fait (et n'ose encore moins imaginer le volume de Marion) s'ils étaient restés dans leur couveuse maternelle. Mais bon, encore une fois, c'est impossible pour des triplés. Même avec un bon poids, ils restent cependant des prématurés et nous prenons toutes les précautions d'usage. Il na faut pas oublier par exemple qu'ils n'ont pas autant de défenses immunitaires que des bébés normaux (comment ça ils sont pas normaux mes gosses. Centor attaque !)
Mais voici l'info qui va faire pâlir de jalousie les pauvres parents d'enfants uniques qui ont galéré pendant des mois (hi, hi, hi) : nos trois merveilles font leurs nuits depuis une dizaine de jours. Dernier biberon vers 23 heures et puis plus personne jusqu'au lendemain 7 heures. Enfin 7 heures... pour Tristan parce que pour Romane et Quentin c'est plutôt 8 heures-8h30. Allez, c'est bon : prenez deux minutes pour pleurer un bon coup.
Bon à part cela, la routine. Les enfants sont plutôt faciles à vivre (encore une fois, c'est facile de dire cela planqué derrière mon bureau alors que Marion a été obligée de se percer les deux tympans pour pouvoir garder un peu de sérénité). Ils sont (plutôt) calmes la journée et se déchaînent le soir (à croire qu'ils savent quand je rentre ces "peaux de vache"). Ils ont visiblement beaucoup de mal à accepter que l'on puisse donner à manger à d'autres personnes qu'à eux (et là, je ne parle que de Marion et moi). Il paraît que c'est normal et qu'ils ont besoin de décharger leur énergie avant de faire leur nuit (oui, je sais, j'insiste lourdement. Mais c'est tellement jouissif). Ces soirées à thèmes (musicaux s'entend, mais pas très variés cependant) expliquent notre incapacité à écrire sur le blog, nous détendre devant la TV, ou tout simplement nous poser 2 secondes. Cela explique aussi pourquoi on a toujours pas réussi à créer notre faire-part. On va essayer de l'envoyer, promis, avant leur majorité.
Bon, je n'oublie rien ?
Ah si. Ce sont les plus beaux du monde (surtout ma fille préférée et mes deux fils préférés). Bon, encore une fois, vous allez me dire que ce sont les paroles traditionnelles de parents aveuglés par l'amour de leurs enfants.
Et bien non. La différence avec les autres, c'est que pour les nôtres, c'est tout simplement la réalité dans l'expression de sa plus pure objectivité.
Encore une fois, jugez plutôt par vous-même ci-dessous....
Bon, on va pas vous sortir les traditionnelles (mais tellement vraies) excuses : biberons, changes, biberons, changes... Mais quand même. Il faut bien reconnaître que c'est pas tous les jours facile (dit-il planqué derrière son bureau au boulot alors que Marion doit usiner pour nourrir trois petits monstres affamés).
Venons en aux faits. Les petits se portent à merveille. Nous allons de surprises en surprises puisqu'ils ont déjà rattrapé la courbe de croissance d'un nourrisson à terme. Jugez plutôt. Le 10 avril (le terme "normal", même si cela ne veut pas dire grand-chose pour des triplés), ils frisaient les quatre kilos. Je ne vous dis pas le poids qu'il auraient fait (et n'ose encore moins imaginer le volume de Marion) s'ils étaient restés dans leur couveuse maternelle. Mais bon, encore une fois, c'est impossible pour des triplés. Même avec un bon poids, ils restent cependant des prématurés et nous prenons toutes les précautions d'usage. Il na faut pas oublier par exemple qu'ils n'ont pas autant de défenses immunitaires que des bébés normaux (comment ça ils sont pas normaux mes gosses. Centor attaque !)
Mais voici l'info qui va faire pâlir de jalousie les pauvres parents d'enfants uniques qui ont galéré pendant des mois (hi, hi, hi) : nos trois merveilles font leurs nuits depuis une dizaine de jours. Dernier biberon vers 23 heures et puis plus personne jusqu'au lendemain 7 heures. Enfin 7 heures... pour Tristan parce que pour Romane et Quentin c'est plutôt 8 heures-8h30. Allez, c'est bon : prenez deux minutes pour pleurer un bon coup.
Bon à part cela, la routine. Les enfants sont plutôt faciles à vivre (encore une fois, c'est facile de dire cela planqué derrière mon bureau alors que Marion a été obligée de se percer les deux tympans pour pouvoir garder un peu de sérénité). Ils sont (plutôt) calmes la journée et se déchaînent le soir (à croire qu'ils savent quand je rentre ces "peaux de vache"). Ils ont visiblement beaucoup de mal à accepter que l'on puisse donner à manger à d'autres personnes qu'à eux (et là, je ne parle que de Marion et moi). Il paraît que c'est normal et qu'ils ont besoin de décharger leur énergie avant de faire leur nuit (oui, je sais, j'insiste lourdement. Mais c'est tellement jouissif). Ces soirées à thèmes (musicaux s'entend, mais pas très variés cependant) expliquent notre incapacité à écrire sur le blog, nous détendre devant la TV, ou tout simplement nous poser 2 secondes. Cela explique aussi pourquoi on a toujours pas réussi à créer notre faire-part. On va essayer de l'envoyer, promis, avant leur majorité.
Bon, je n'oublie rien ?
Ah si. Ce sont les plus beaux du monde (surtout ma fille préférée et mes deux fils préférés). Bon, encore une fois, vous allez me dire que ce sont les paroles traditionnelles de parents aveuglés par l'amour de leurs enfants.
Et bien non. La différence avec les autres, c'est que pour les nôtres, c'est tout simplement la réalité dans l'expression de sa plus pure objectivité.
Encore une fois, jugez plutôt par vous-même ci-dessous....